J’essaie de trouver un sens à cette galère. La maladie d’Alzheimer squatte le cerveau de ma mère, Marcelle, depuis 2005. Mes frères, mon père et moi, nous sommes retrouvés proche-aidants forcés, sans mode d’emploi. Solidaires de tous ceux et celles qui sont aux prises avec les mêmes deuils à répétition.

Est-ce que ce récit peut servir à d’autres? Peut-il être utile à ceux et celles qui affrontent la même tempête en naviguant à vue?

Le blogue pour créer une connection radio et dire « vous n’êtes pas seuls ». Et pour s’accrocher à ceci: « Tous les chagrins sont supportables si on en fait un conte ou si on les raconte » (Karen von Blixen-Finecke).