La travailleuse sociale a l’impression de perdre son temps.

La porte de la chambre de Marcelle est fermée.

Marcelle réussit à berner la travailleuse sociale.

Marcelle ne veut pas qu’elle aille voir dans sa chambre.

C’est pourtant là où il y a la preuve que la maladie avance. Qu’elle a besoin d’aide. Marcelle dort sur son divan, ne pouvant plus se frayer un chemin jusqu’à son lit.

J’insiste pour qu’on ouvre la porte. « Non. Il faut respecter la volonté de votre mère. » Elle détache les syllabes, pour s’assurer que je comprends bien.

… ne pas étrangler la travailleuse sociale, puisque c’est elle qui va ouvrir la porte menant à de l’aide.